Gemma

J’avais 17 ans lorsque j’ai décidé que je ne voulais plus poursuivre mes études après le lycée. J’allais plutôt passer des auditions dans différentes écoles de musique pour étudier le saxophone. Mes parents m’ont beaucoup soutenue dès qu’ils étaient certains que je comprenais dans quoi je m’embarquais, car il y avait certains risques : difficultés financières, instabilité d’emploi ainsi qu’une compétitivité grandissante dans le domaine. Lire l’histoire complète
 
 

 

 

Katérie

Lorsque j’ai dû choisir le thème de ce billet, j’ai longtemps hésité entre deux sujets qui me passionnent, soit les voyages et le mouvement social Black Lives matter. Puis, j’ai réalisé qu’il m’était possible de jumeler les deux. Je suis consciente que parcourir le monde est un privilège qui n’est pas donné à tous. Ceci dit, voyager autour du globe en étant une femme afro-canadienne – de surcroît métisse- comporte son lot de frustrations.  Lire l’histoire complète
 
 

Maryne

Il y a quelques mois certains de mes proches m’ont conseillé des comptes Instagram et des podcasts portant sur l’hypersensibilité. J’ai poursuivi mes recherches à ce sujet et ça a été comme un déclic… J’ai comme réussi à faire le lien avec la façon dont je me comportais depuis des années, à mettre des mots sur ce que je ressentais et à me sentir profondément comprise. Lire l’histoire complète
 
 

 

 

Berta

je souhaite parler de l’invisibilité du travail qu’est d’être une mère, parce que nous vivons dans une société qui promeut et célèbre la productivité et l’accumulation d’argent. Cependant, cette même société ne valorise pas les efforts des mères. […] Je voulais traiter de cet enjeu puisque c’est un facteur qui a affecté ma mère depuis mon enfance, et cela me met hors de moi. Lire l’histoire complète
 

 

 

Vesela

Quand j’ai dû quitter mon pays pour immigrer, à l’âge de 7 ans, et apprendre non pas une, mais deux nouvelles langues, la littérature m’a aidé à m’adapter à mon nouvel environnement. Quand je peinais à me faire des amis, à m’intégrer, la littérature me réconfortait. Je suis une enfant de l’ère de « Harry Potter » qui a grandi en rêvant aux sorciers, aux créatures magiques et à la sorcellerie. Lire l’histoire complète
 

 

Akriti

J’ai plusieurs rêves, mais j’ignore si ce sont vraiment des rêves ou des désirs intérieurs de prouver à mes parents et à la société que les femmes peuvent tout faire. Je veux informer les gens du Népal sur le féminisme. Les féministes au Népal sont principalement inquiètes de l’équité et de l’égalité des chances. Au Népal, les femmes sont maltraitées dans tous les aspects de la société. Lire l’histoire complète
 

 

Hinatea

La contraception féminine est un sujet quotidien, et pourtant on semble très peu informés sur le sujet, que ce soit les hommes ou les femmes. Dans nos cours de Sciences de la Vie et de la Terre on nous parle bien du préservatif mais très peu voire pas du tout du reste : pilule, implant, stérilet, etc. Alors on ne prend pas forcément le temps de comprendre, d’écouter son corps, d’essayer, de parler avec son/sa partenaire, son médecin… Et c’est là qu’on se trompe. Lire l’histoire complète
 

 

Gaëlle

Cependant, lorsque j’ai trouvé la force de tout arrêter et de partir, je me suis sentie renaître. Un sentiment de liberté m’a envahie dans tout le corps. Je pense n’avoir jamais ressenti de manière intense un sentiment comme celui-ci. Lire l’histoire complète
 
 
 
 

 

Daphné

C’est quelque chose qui devrait paraître naturel à chacun.e ; se présenter. Savoir dire Ça, c’est moi. Pourtant, j’ai l’impression d’être plongée au quotidien dans un monde où l’on s’engage dans un rapport superficiel à l’autre, où l’on attend que l’autre ne prenne pas de trop de place et reste bien rangé.e à sa place. Alors, pour la première fois, je me présente. Lire l’histoire complète
 

 

 

Juliette

A toi qui lis ceci et qui te sens mal dans ta peau, ne t’inquiète pas. C’est temporaire. Tu vas aller mieux. Parles-en avec les bonnes personnes. Tu en vaux la peine, et tu es magnifique en étant toi. Lire l’histoire complète
 
 

 

 

Alexia

Parmis tous les sujets qui me tiennent à coeur, il en est un qui ravive quelque chose de plus profond ; celui du corps. Peu importe là où s’en vont mes réflexions, qu’elles s’inscrivent dans mon combat féministe ou qu’elles relèvent de l’intime, il est présent. Lire l’histoire complète
 

 

Claire

Devenir femme, c’est avant tout avoir conscience de toutes les nombreuses pressions de la société que l’on doit vivre pour prétendre y arriver. Il faudrait être constamment belle, grande, mince, maquillée, intentionnée, charmante, douce, agréable, épouse dévouée et mère parfaite, en toute circonstance. Être une femme, au regard des normes sociétales est une performance constante. Il faudrait s’oublier soi-même pour servir les intérêts d’autrui. Lire l’histoire complète
 

Léa

Le 12 mai 2019, je me suis rasé la tête. J’avais cette idée en tête depuis plus d’un an, j’avais binge-watché toutes les vidéos YouTube de meufs se rasant les cheveux, j’étais complètement flippée. C’était la peur qui m’avait retenue aussi longtemps, et la peur qui a retenu mes premiers coups de ciseaux près de ma tête. Je craignais d’être stigmatisée, mais par-dessus tout, de ne plus être belle. De découvrir une laideur, totalement inacceptable pour une fxmme, que je ne pourrais plus cacher ou diminuer. Lire l’histoire complète
 

 

 

Amélie

Tu dis : L’art d’être et de paraître, nous luttons pour ne plus devenir soi-même. Les seins moulés et le regard blême, nous disparaissons dans la bataille des beautés éphémères. Lire le poème complet 
 

 

Hélène

Pour plaire à la gente masculine, on m’a appris à avoir une apparence irréprochable : taille fine, cheveux longs, épilation, maquillage… La liste de tous les artifices que nous nous infligeons est longue. Il m’aura fallu 20 ans pour comprendre que ma valeur ne dépend pas de mon apparence physique mais de ce que je suis capable d’accomplir au quotidien. Il m’aura fallu suivre l’enseignement d’une professeure engagée pour comprendre que le pouvoir, ça se donne. Lire l’histoire complète
 

 

Marie-Anne

Lorsqu’on devient Miss, on est d’emblée médiatisée. Je voulais accéder à ce statut pour deux raisons : tout d’abord il s’agissait de prouver à mes anciens camarades de classe que j’avais réussi à faire quelque chose qu’ils seraient à jamais incapables d’éxécuter. Cependant, il s’agissait surtout de me prouver, à moi, que je pouvais être qui je voulais et que pour cela, je n’avais besoin de l’approbation de personne. Lire l’histoire complète
 
 
 

 

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